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Pourquoi j’aime New-York, sans aucune concession

Il y a toujours des villes plus ou moins marquantes lors d’un voyage, des villes qui laissent une trace indélébile dans notre mémoire. S’il y en a bien une qui est à jamais gravée pour moi, c’est New-York !

Je pourrais vous en parler pendant des jours durant, car il y a mille choses à dire sur cette ville. Je pourrais vous en parler pendant des semaines, car il y a mille choses à faire. Je pourrais vous en parler pendant des mois, car au delà de tout, elle est viscéralement fascinante.

Pourquoi j’aime New-York ? Je vais vous le dire tout simplement, avec juste avec une centaine de mots.

Cette atmosphère si particulière

Avant même d’y poser les pieds, on a déjà des images plein la tête de la ville, des clichés, des paysages, que l’on voit partout en photos, dans des magazines, films et séries. Au moment où vous atterrissez, tout prend forme, et c’est maintenant vous l’acteur de ce nouveau long-métrage.

La première image que j’ai de New York, c’est nous dans un yellow-cab, au départ de JFK (rien que ce nom, JFK, ça pète la classe), et à l’approche de Manhattan, le chauffeur qui nous dit : « Wait, wait, wait… now ! » Et là, nous éclatant au visage, ce majestueux panorama nous laissant sans voix. Les lumières pétillaient, et nos yeux étincelaient. Il ne manquait plus que la musique de Sinatra raisonnant en fond, pour que le moment soit parfait.

New York a une histoire, de visibles cicatrices, et le tout forge un caractère inimitable. 

I want to be a part of it New York, New York

Des buildings, mais pas que

Le cliché de New-YorkHormis les buildings, il n’y a rien. En un mot comme mille, c’est faux. Alors oui, il y en a, même énormément, et dans une optique ultra touristique, vous n’en verrez que ça. New-York a d’autres facéties à vous montrer, et certains quartiers vous déconnectent totalement de l’atmosphère oppressante de ces hauts bâtiments.

Lorsque vous êtes à Greenwich village, ou « The Village » comme disent ses résidents , vous arpentez les rues, contemplez ces bâtiments, et vous vous dites : « Mais je suis où là? ». Si vous creusez, NYC, c’est les poupées Russes, des villes dans la ville.

Je parle de Greenwich car c’est un quartier que j’apprécie, mais il y en a bien d’autres. Soho, Harlem, le Queens, le Bronx, hormis des architectures totalement différentes, ces quartiers restent hors de ce cliché buildings.

New York est une muse, là devant vous, nue, ne demandant qu’à être peinte au rythme de votre imagination.

Oui, des villes dans la ville, même des pays dans la ville

Cosmopolite. Chaque quartier de New-York a son histoire, des caractéristiques bien à eux, et une population bien a elle. Chinatown, Little Italy, Koreatown, Harlem, Soho, même un très peu connu Little Paris !

Sa diversité est incroyable. En une heure de marche, vous pouvez rencontrer des dizaines et dizaines de nationalités, manger Vietnamien, Italien, Français, Chinois, Marocain, et j’en passe ! Vous me direz, oui mais comme partout… Non pas comme partout, pas comme ça !

Prenez 1h pour faire un jogging dans Central Park, une messe Gospel à Harlem, allez manger à Long Island en bord de l’océan, visitez le musée d’art moderne, un peu de shopping à Soho, un verre dans un pub Irlandais, un coucher de soleil sur le panorama de Manhattan à partir de Brooklyn, avant de partir sur un match de NBA puis une fin de soirée en Rooftop.

J’ai cherché l’ennui à New York, j’y ai trouvé le sourire.

J’aime New York pour Brooklyn…

On pense toujours que New York se résume à l’île de Manhattan, mais ça va plus loin que ça avec Brooklyn. « Brooklyn, ah le pont ! – Non le Quartier ! « .

Brooklyn c’est LE quartier qui vous fait aimer et apprécier. Une promenade le long de l’East river, tout en admirant la skyline de Manhattan, le téléphérique « Roosevelt Tram », une photo du Manhattan bridge, une baignade à Brighton beach, un verre dans un bar clandestins, une pizza. Et si on devenait plus que des touristes?

J’idolâtre New-York, je l’aperçois encore avec les yeux d’un doux rêveur. Elle et son bruit romantique, ses odeurs magnétiques, son charme authentique.

New York, c’est la ville où tout est possible, une ville de liberté, une ville d’accueil. New York c’est la première porte de l’immigration. New York c’est un film, un rêve, un bonheur.

Aujourd’hui je m’endors dans la ville qui ne dort jamais. Demain je me réveille dans cette ville qui veut me garder éveillé.

Voyageusement

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